

Le bonheur est comme un papillon :
plus je le pourchasse, plus il cherche à s'éloigner de moi.
Mais si je m'occupe à autre chose qu'à sa poursuite,
il viendra, gentiment, se poser sur mon épaule.
Alors il sera tout près de moi, mais j'ai peur de bouger
s'il fallait qu'il parte pour ne plus jamais revenir.
J'ai bougé et il s'est envolé, cependant j'ai appris,
que là s'arrête la comparaison du papillon et du bonheur car
le papillon est peureux mais pas le bonheur, si tu t'en occupes
il restera à jamais.
Nous faisons notre bonheur à notre manière,
ce qui compte le plus c'est de le retenir et de le faire grandir.
Auteur : Inconnu


